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Semaine Laudato Si: le zéro-déchet

Dernière mise à jour : 30 juil. 2020

Pour cette semaine Laudato Si, nous vous avons proposé différents Lives* sur des sujets de l'écologie intégrale. Le mardi 20 mai, j'ai reçu Alix et par vidéo nous avons discuté de la réduction des déchets.

 

C'est un sujet qui vous tenait à cœur et je suis heureuse de pouvoir en parler grâce à avec Alix. En effet, elle suit un mode de vie zéro déchet depuis plusieurs années.. Sa transition s'est faite progressivement par des petits gestes au quotidien, mais aussi par ceux perçus autour d'elle.


Sur les réseaux sociaux, il est simple de trouver des gens engagés dans l'écologie et se tournant vers le zéro déchet. Mais très peu sont catholique..



Alix et nous sommes rencontrées sur Instagram en échangeant régulièrement sur ce qui nous liait : l’alimentation (sans gluten ni lactose pour cause d'intolérance) puis le zéro déchet !


Rencontre éco-virtuelle: Alix et le zéro déchet.

Alix est issue d'une famille nombreuse et dès son enfance, elle a vécu avec des principes d'économies et de management de la famille. Les enfants grandissent vite et ce n'est pas toujours simple de les habiller. Alors ses parents se fournissaient en vêtements dans les braderies, brocantes ou recycleries. Il en était de même pour les jouets ! Pas de jouets neufs mais des Playmobils et Légos collectors donnés par les grands coussins.

Il y eu aussi des petits gestes observés avec des yeux d'enfant curieux : sa maman toujours avec sa petite cuillère ou petite fourchette dans son sac à main ! Des choses qu'on trouve mystérieuse quand on est enfant, et dont on comprend le sens en grandissant : sa maman était écolo avant l'heure !

Mais il arrive que nous devions faire des choses par obligation : la maman d'Alix est intolérante au gluten. La famille a donc toujours cuisiné des fruits et légumes de saison, en contrôlant les étiquettes et produits. Ayant vécu au Canada, Alix s'est retrouvée au cœur d'un monde de consommation de masse (typiquement américaine). L'alimentation naturelle disparaît, tout est transformé ou contient des additifs (vitamine, calcium...). La lecture des étiquettes est de rigueur pour être sûr de manger correctement.

Même si la transition d'Alix n'a pas été radicale, elle a cependant été plus concrète quand elle a quitté le cocon familial pour vivre en tant qu'étudiante à Londres. Elle a alors pris conscience des prix en voyant son budget serré, des emballages présents en quantité autour des aliments... Et pourtant il fallait bien se nourrir ! Alix a ressorti ses sachets en tissus pour les fruits et légumes, s'est tournée vers les produits de saison... Mission réussie ! De retour à Paris, le problème se pose à nouveau : comment avoir accès aux produits frais et de saison ? Alix se rapproche donc d'une AMAP (Association pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne), c'est un lieu qui regroupe différents acteurs de l'agriculture afin d'y vendre leur produit.

Mais Alix est une jeune fille coquette et comme nous tous, elle est attentive à la mode ! Sa maman lui a toujours appris qu'à l'achat d'une nouvelle pièce, il faut en vendre/donner une ! Aujourd'hui il existe de nombreuses plateformes de location vestimentaire ou de vente d'occasion. La mode varie tellement souvent qu'Alix a aussi l'habitude de regarder sur Vinted si la pièce désirée ne s'y cache pas avant de l'achetée neuve. Elle privilégie les marques éco-responsables, les matières douces et les entreprises français.

Avec son mode de vie différent, sa brosse à vaisselle, ses cotons démaquillants lavables, Alix a parfois reçus des avis mitigés. Il y a encore quatre ans, ses amis la taquinait beaucoup à ce sujet ! "Des cotons lavables, c'est un peu extrême non? C'est tellement bobo!". Progressivement, le regard des autres, familles et amis, a changé pour se transformer en admiration. Ils leur arrivent maintenant de demander conseil à Alix !



Agir en conscience.


Ecologie : effet de mode ?

Il y a quatre ans, c'était parfois dur de trouver les produits adéquates à un mode de vie réduisant les déchets. Mais l'écologie est devenue tendance. Elle est devenue un critère en tout point : achat de voiture verte, banque verte, politique verte… Attention au greenwashing !

Nous sommes habitués à tout avoir, toujours plus vite quand on peut acheter sur internet et obtenir le produit une heure après, ou qu'on a forcé la terre à répondre aux caprices humains : Oui je VEUX des avocats et des tomates en hiver parce que la bloggeuse mode a posté une recette trop bonne. En plein hiver français, c 'est surement moins glamour de poster une recette de courge ou de panais… Être écolo c'est donc redécouvrir la patience, refuser le caprice. Et de la patience, il vous en faudra ! Car la transition vers un mode de vie écolo se fait progressivement.

Notre société extrémiste n'est pas adepte des modes de vies mesurés. Si tu es écolo, tu vis en autarcie, avec une politique zadiste, et tu es anti-tout. Belle image ! Ce mode de vie est associé politiquement a des idées assez éloignées du catholicisme, bref rien ne nous rapproche sur le papier. Et pourtant, on peut être catho et écolo. Sans porter ni de croix sur les épaules, ni de dreadlocks sur la tête. En discutant, Alix et moi avons reconnu que parmi les critiques reçues, elles venaient le plus souvent des personnes catholiques. Nos amis athées sont plus ouverts d'esprits, curieux tandis que nos amis catholiques sont très sceptiques et ont des idées arrêtées.

Notre religion est belle : elle prône l'ouverture d'esprit, l'ouvert aux autres et le respect de tout être vivant. Être catholique, ce n'est pas être parfait. Mais notre chemin vers la sainteté passe par le respect de tous ces points et non en choisissant et sélectionnant nos avis. Il ne devrait pas y avoir de phrase telle que "on peut être catho et écolo". Nous sommes catholiques, donc écologistes. Rappelons-nous que le premier sanctuaire de l'âme est le corps, que nous devons en prendre soin. Et que notre deuxième maison est la Terre. Cette maison commune abrite de belles ressources qu'il faut savoir respecter.


Etre MédiaTerre:

Il en est de même pour toute personne ne rentrant pas le moule de la société : recevoir des critiques. Nous le reconnaissons : quand notre cœur agit avec bonheur de faire le bien, et qu'on nous lance des piques désobligeants, tout s'écroule. Haut les cœurs ! Soyez fiers ! Si vous avez décidé de changer, c'est parce que vous avez pris conscience du déséquilibre de notre société et de votre consommation. Ne cherchez pas à noyer les autres sous vos idées et vos principes, ne rabâchez pas toujours un discours pro-écolo ! Il faut savoir se modérer, être médiateur de la Terre. Médiaterre. Ayez une marge de liberté, de ne rien dire lorsque dans un dîner chez des amis vous vous retrouvez à manger une salade de tomates poivrons en plein janvier. La plus belle façon de changer les cœurs est de semer des graines. Montrer l'exemple, soumettez discrètement des idées, mais n'imposez pas ! Votre transformation sera toujours plus avancée que d'autres. Chaque chose en son temps, les graines que l'on sème ne porte pas du fruit du jour au lendemain ! Elles ont besoin d'amour, de soutien, pour enfin porter un fruit solide.


Se déplacer:

De nos jours, de nombreux moyens s'offrent à nous pour nous déplacer : vélo, co-voiturage, voyage en bus ou en train. Il est vrai qu'il est difficilement envisageable de se passer de voiture, notamment pour les semi-ruraux et les ruraux. Ce qu'il faut retenir est 1/3 des déplacements que nous faisons chaque jour est vers un endroit proche ! Si nous pensions à prendre nos vélos ou nos jambes pour nous déplacer brièvement, cela permettrait déjà réduire de 1/3 les déplacements qui polluent et qui sont inutiles.

Saviez-vous qu'il existe une plateforme de covoiturage solidaire pour la messe ? Rendez-vous sur gomesse.fr (@gomesse.fr)

Se nourrir:

La première chose que nous devrions mettre en place lorsque nous voulons changer de mode de vie? l'alimentation ! Nous nous répétons mais le corps est notre première maison, et il n'est pas raisonnable d'ingérer des produits nocifs pour son bon fonctionnement en pleine connaissance de cause.

Qu'à cela ne tienne, devenir écolo ne signifie pas tout planter pour élever des chèvres dans le Larzaque (oui Camille aime bien cet exemple) ni quitter la ville du jour au lendemain pour devenir maraîcher. Ne soyons pas dans la démesure. Nous avons chacun un rôle, un métier, des compétences différentes. Des hommes prennent soin de la Terre pour nous depuis des millénaires, nos agriculteurs. Bien sur si vous en avez la possibilité, nous vous invitons à avoir un petit potager! Mais au cas contraire, vous pouvez simplement participer à l'équilibre vertueux de la Terre en consommant auprès de nos agriculteurs.


Nous aimerions vous dire que vous pouvez avoir 100% confiance en vos agriculteurs. Mais la réalité est autre. Les lobbys alimentaires profitent de l'effet de mode pour vous proposer des produits "bio", toujours à moindre coût. Le Bio à perdu de sa valeur et de sa qualité, si bien qu'aujourd'hui nous vous recommandons ceci:

  • Bien lire les étiquettes de provenance des produits, privilégier le local et le français (sachez que le Bio de Turquie n'a pas les mêmes réglementations qu'en France, bref vous pouvez très vite vous faire avoir!)

  • Privilégier les labels "Agriculture Raisonnée" et "Nature&Progrès"


Faire attention à son alimentation demande aussi de manger en fonction des saisons. Nous avons été habitués à obtenir tous les aliments, toute l'année or ça n'a rien de normal. Au delà de l'impact écologique du fait de produire des tomates en hiver, cela n'a pas de bon effet sur votre corps. Dieu a très bien créé la Terre, tout est lié, tout à ces raisons. Notre monde fonctionne en saison. Pas sur que Dieu avait juste envie de s'amuser à créer différents légumes pour rien. Manger des tomates en hiver, ce n'est pas répondre aux besoins de notre corps face au cycle hivernal. Nous avons besoin d'aliments, plus riches l'hiver, tandis que l'été, nous avons besoin d'aliments qui nous hydrate. Tout a une raison: les concombres, pastèques et tomates l'été! Et l'hiver, cucurbitacées, patates, choux, carottes. Manger de saison implique d'écouter son corps et ses besoins, et non nos envies. Cela demande aussi de cuisiner un peu plus, afin de varier les cuissons et les recettes. En effet, en vivant avec les produits de saison, certains légumes reviennent très souvent et il faut faire en sorte de ne pas se lasser... en innovant!

Alors respecte ton corps, respecte la Terre et lâche ton paquet de Kinder pour aller cuisiner des p'tits cookies maisons!


Petite aparté: Nous sommes toutes deux touchées de près ou de loin par les intolérances au lactose et au gluten. L'intolérance au lactose est en fait . Une réaction normale du corps! Seul le corps de l'enfant sait digérer correctement le lactose (animal), mais à l'âge adulte, vous forcez votre corps à produire une enzyme de digestion qui n'est pas naturelle. En ingérant des produits laitiers, vous fatiguez donc votre corps.

(2 à 15% d'intolérants chez les Nords-Européens, 100% d'intolérants en Asie)

Notre lobby alimentaire a su taire les nombreuses transformations alimentaires de ces dernières années, et nous cacher l'augmentation de l'utilisation du gluten! Cette colle alimentaire qui se cache partout, même dans les fruits secs, les produits végétaux... Bref difficile de trouver un produit sans gluten, car même là où il ne devrait pas y en voir.. on en trouve!

Nous fatiguons notre corps en lui faisant digérer des produits très transformés, avec additif. Pensez à vous écoutez... L’alimentation agit sur le cerveau et le corps !


Consommer autrement:

  • L’électroménager : grâce à l’obsolescence programmée, cette merveilleuse invention de nos bienveillants ingénieurs, nous sommes vites saturés d’objets électroniques qui ne fonctionnent plus. Du moins apparemment, selon notre analyse de bricoleur du dimanche ! Sachez que si vous êtes dans la situation où un produit électrique vous lâche vous pouvez tenter de le faire réparer auprès d’un RepairCafé. Ces cafés, restaurants ou associations ouvrent le ventre de nos machines afin de les aider à repartir. Si vraiment votre objet est fichu, penser à acheter d’occasion !

  • Prévoir : faire les courses avec d’ancien cabas, prévoir des sachets en tissus pour les fruits et légumes mais aussi des contenants en verre pour les produits à la coupe… Des petites astuces qui sauvent la planète !

  • Les vêtements d’occasion : Vinted, ahhhh vinted. On entend parler partout. Cela partait d’une bonne intention : acheter d’occasion, redonner vie à des vêtements. Et maintenant, nous faisons face à une grooossse machine du fast-fashion : bons nombres de mes amies achètent et changent tous les mois de garde-robe complète ! Elles portent une pièce deux fois puis la vende pour en racheter une nouvelle... Bref pas tellement l’utilisation principalement désirée par le groupe. Attention ! Cependant, si vous achetez un vêtement, pensez à en vendre ou en donner un autre ! Vinted n’est pas non plus une poubelle à vieux vêtements, préférez donnez à Emmaüs ou autre association solidaire dans gens de la rue ou en situation précaire.


Prendre soin de soi:

Quand on passe au zéro déchet, il y a trois risques :

  • Le premier est de tomber dans la boucle consommatrice malsaine qui est en train de se mettre en place autour de produits « verts ». Consommer, toujours plus, mais de nouveaux produits dit écologiques (qui ne le sont pas toujours!)

  • Le second, de vouloir faire comme tout le monde. Nous sommes tous différents, avec nos sensibilités et nos fragilités respectives. Avant d’acheter 25 cotons démaquillants, préférez en acheter 1 ou 2 pour essayer (vos yeux et paupières peuvent être sujettes à l’irritation). Il en est de même pour les produits : shampoing solide, huile sur le visage, baume déodorant.. Attention ! Votre peau peut très vite mal réagir. Ces produits peuvent contenir uniquement des produits sains, mais qui ne correspondent à votre peau ou vos besoins.

  • Vouloir tout faire soi-même : le DIY (« Do It Yourself »). Le bonheur de réaliser quelque chose et la fierté de son utilisation. Ouep ! Mais pas en écologie. Si tu souhaites te lancer, soit cohérent. Se dire « ok je me lance », prendre les recettes des filles sur internet puis acheter les 10 ingrédients pour fabriquer 1 dentifrice solide qui finalement, après 3 utilisations, ne nous corresponds pas… Boum, les 10 ingrédients au placard. Nous sommes tombés dans le panneau et avons participé à la boucle de consommation. A la place, nous vous recommandons de vous inscrire à un atelier. De nombreuses enseignes proposent des ateliers « DIY » (Do It Yourself). Nous vous les recommandons : vous allez payer un atelier un peu plus cher, mais un(e) spécialiste vous donnera ces conseils et vous montreras comment réaliser vos produits (entretien de la maison mais aussi de beauté). Vous quittez l’atelier avec la recette et le produit que vous pouvez utiliser. Si à la fin de son utilisation, il vous a convenu : allez y et faites vous-même si vous en ressentez le besoin ! Si cela ne vous convient pas, tourner vous vers d’autres ateliers avec d’autres recettes ou produits. Sachez aussi que de nombreuses petites marques françaises font ça très bien..

Nos recommandations de marques :

  • Clémence&Vivien (savon, baume déodorant et baume corporel)

  • Mes huilettes (baume pour le corps, sérum, roll-on poches sous les yeux, huile nettoyante visage.. au vert, vegan, avec de très belles valeurs mises en avant par de nombreux labels!)

  • Brosse à dent interchangeable Bioseptyl

  • Cotons lavables : préférez ceux certifiés bio et/ou Oeko-tex !

  • Savons pour le corps : saponifié à froid, au lait d’ânesse ou de chèvre, il y en a pour tous les goûts !

Nettoyage au vert:

Fini d’avoir un produit en plastique pour chaque pièce (voir objet !) de la maison. Fini les listes d’ingrédients dangereux et longues à souhait. Nous pouvons faire notre ménage avec seulement 4 produits :

- Le vinaigre ménager

- Le bicarbonate de sodium

- Le savon noir ou savon de Marseille

- Optionnel : huiles essentielles

Attention ! Même si nous limitons l’utilisation de produits chimiques, ces quatre produits restent dangereux et corrosifs.

Sachez aussi que l’addition du vinaigre + bicarbonate est inutile car leurs propriétés chimiques s’annulent et forment… de l’eau ! On ne vous recommande donc pas de jouer aux petits chimistes. Le mieux est de chercher et de croiser des informations sur Internet ou dans des livres. Ne vous fiez pas uniquement à une source. L’astuce d’Alix : garder tous les petits morceaux de fins de savons et les placer dans un bocal en verre (bien fermé). Rapper en copeaux dans de l’eau chaude lorsque vous faite le ménage !

Attention bis ! Les huiles essentielles sont parfois source d’allergie. Soyez vigilant et ne jouez surtout pas aux petits chimistes avec ces produits.


Le prix de la Terre:

« Être écolo, c’est pour les riches car ça coûte plus cher ! », phrase que nous entendons assez souvent. Notre monde nous a donné accès à tout, tout de suite et surtout à moindre coût. Un tee-shirt en lin à 10€, un pull en cachemire à 20€ et des fraises à 2€/kg. Aie ! En réalité, nous sous-évaluons le prix des choses. La consommation de masse y est pour quelque chose dans l’industrie de la mode. Mais c’est aussi le cas dans l’agriculture ! On préfère importer de très loin, dans des pays sans trop de contraintes et de lois d’hygiène, plutôt que d’aider nos producteurs français.

La transition peut paraître lourde financièrement au début. Mais progressivement, vos priorités vont changer. On accordera un plus petit budget aux vêtements, en donnant plus de place à l’alimentation ou aux loisirs. Pour rappel, en 1960, un foyer consacrait 35% des dépenses à l’alimentation. En 2020, on ne donne plus que 20% des dépenses du foyer à notre alimentation, ayant donné 15% aux nouvelles technologies et au fast-fashion.

Nous ne pouvons tous avoir un potager, et le but de l’écologie intégrale n’est pas de pousser les hommes à vivre en autarcie et 100% autonome dans des contrés reculées. L’idée est plutôt de réussir à vivre en équilibre selon nos modes de vies à tous, ruraux et citadins. Certains hommes et femmes de ce monde se démènent pour donner aux hommes une alimentation saine, se rendant gardien de notre survie mais aussi de notre planète. En achetant leur produit, nous payons le prix de la Terre. Le prix du respect du travail de ces hommes, qui en bio vont désherber vos carottes à la main. C’est une façon de cautionner et de valoriser leur travail et notre Terre. Sans être agriculteurs, nous sommes tout de même acteurs...

Se lancer :

Et maintenant, c'est ton tour ! Si tu ne trouves pas d'association, de Maison de l'environnement ou d'AMAP chez toi, pourquoi pas en créer une ? Tu peux lancer un groupe de discussion autour de l'écologie intégrale, une association zéro-déchet, une AMAP ou un groupe Eglise Verte dans ta paroisse !

Durant notre entretien, nous avons évoqué plusieurs idées de lectures. Nous vous recommandons vivement ces livres qui peuvent parfois aider à s’engager. Vous pouvez demander ces livres en prêt, les louer à la bibliothèque ou bien les acheter d'occasion !




Avant de vous laisser partir, nous vous remetteons le lien de la vidéo choisi pour annoncer notre thème: https://www.youtube.com/watch?v=Uil_L7_EHzY&t=2s


Aime, prie, sème.. et à ton tour!

Alix & Camille pour God save the green


 

Une citation de Laudato Si ?



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